Rouler en Ural inspire toujours la même crainte : la panne. Gobi notre fidèle destrier venant de franchir la barre des 50 000 km, il nous a semblé judicieux de faire un bilan. Quels pépins a t-on eu ? Combien ça a coûté ? Pourquoi c’est arrivé ? Quelles modifications avons-nous apportées ?
Dans cet article, on vous dit tout ! Et puis, vu que nous ne sommes pas sponsorisés par Ural, il n’y aura aucun tabou ! Bonne lecture !
Qui est Gobi, notre side-car Ural ?
Retraçons brièvement la grande histoire de notre fidèle monture
Gobi est un Ural Ranger de 2011. Nous l’avons acheté en 2020 alors qu’il avait 16 000 km au compteur. Puis à la faveur de quelques périples et hivernales, nous lui avons rapidement ajouté 11 000 km. Les premières galères et les bonnes surprises ont déjà fait l’objet d’un article. Maintenant, nous allons nous intéresser à ce qu’il s’est passé entre 27 000 et 50 000 bornes.