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Comment a t-on modifié notre side-car pour partir en voyage

Nombreux sont les voyageurs motorisés qui donnent un nom à leur monture. Sont-ils fous ? Sans doute, mais surtout, ils sont attachés sentimentalement à leur machine. C’est aussi notre cas. Nous nous sommes pris d’amour pour Gobi, notre side-car Ural. Alors, avant de partir rouler 40 000 bornes sur son dos, il nous a semblé bon de le préparer convenablement. Et oui, on ne part pas à l’assaut de l’Everest en tongs et shorts de bain !
Voici donc venue l’heure des présentations avec notre précieux Gobi. Modèle, pneus, adaptations tout-terrain, prépa moteur… On vous dit tout !! Bonne lecture !

Gobi, un side-car Ural Ranger de 2011

« Gobi, Gobi, pourquoi t’appelles-tu Gobi ? »

Nous l’avons baptisé ainsi pour deux raisons. D’abord en référence au désert de Gobi en Mongolie qui constituera une étape majeure de notre périple. Ensuite, parce que c’est aussi le nom de son coloris. Moins glamour non ?

Pourquoi un Ural Ranger de 2011 ?

Nous avons choisi ce modèle car il a de nombreuses qualités liées à notre futur voyage. Tout d’abord, il est équipé de carburateurs et non d’injecteurs. Cette technologie, un peu vieillotte, présente l’avantage d’être dépannable très facilement. Plutôt pratique en cas de pépin au milieu des steppes mongoles. Ensuite, la roue du panier peut être motrice sur demande. On passe donc en 2 roues motrices (2WD pour les américains). C’est un atout considérable pour les sections tout-terrain. Pour finir, nous avons eu beaucoup de chance car son premier propriétaire avait un projet similaire au nôtre. Il avait donc commencé à le préparer pour son voyage.

Allez, on rentre dans le vif du sujet : la mécanique !

On commence par la partie cycle.

Les amortisseurs d’origine ont été remplacés par des suspensions à gaz de chez  Fournales. Pourquoi changer ? Car on gagne beaucoup en confort de conduite. Et aussi, parce qu’elles sont réglables super facilement. Tu veux qu’elles soient plus dures ? Il suffit de pomper de l’air dedans:) Plus molles ? Tu laisses de l’air s’échapper.

Gobi est chaussé avec des pneus  Heidenau K37. Ils offrent un bon compromis route et tout-terrain. En termes de durée de vie, il faut tabler sur 12 000 à 14 000 bornes. Mais un bon pneu ne fait pas tout ! Il faut aussi des chambres à air en béton ! C’est une façon de parler, mais sachez qu’il s’agit de modèles ultra-renforcés de 4mm d’épaisseur.

On vous révèle maintenant une astuce secrète d’uraliste : des rilsans sur les rayons.

Quésaco ? On lie chaque rayon avec son voisin à l’aide d’un collier en plastique. Cette pression constante les maintient en contact permanent et évite donc qu’ils s’entrechoquent (ce qui à terme, provoque une perte de tension).

Passons au poste de pilotage 🙂

Nous avons installé des pare-pierre comme les pros en enduro ! Ouais, sauf que là, c’est plutôt pour protéger du vent, de la pluie et du froid. L’autre alternative, c’est les manchons. Mais esthétiquement, on trouve ça douteux. Et puis, on a installé des poignées chauffantes. Pratique pour affronter les vents frais de Sibérie, non ?

Au dessus du compteur de vitesse se trouve l’indicateur de température d’huile. Cette remontée d’information est plus qu’appréciable quand on sait que le refroidissement (ou plutôt l’absence de refroidissement) est le point faible de l’Ural.

On finit avec les commandes décalées au réservoir. Ces petites manettes permettent d’avoir à portée de main le passage en marche AR et en 2WD. Du luxe ? Oui, un peu, mais ça évite d’avoir à se contorsionner dans des situations délicates.

Mais alors, qu’est ce qui se passe dans le moteur ?

C’est un joli flat de 750cc réalésé en 850cc par les chirurgiens de chez Est-Motorcycles. Ce gain de cylindrée procure évidemment un couple additionnel conséquent. Très utile pour un road trip à deux chargés comme des mules.

Petit détail technique mais très important : le joint spi de vilebrequin d’origine a été remplacé par son équivalent Viton, résistant à des hautes températures.

Pour assurer une bonne lubrification du moteur, le carter d’huile a été remplacé par son homologue grande capacité de 3L. Mais cet élément est très proéminent, alors comment le protéger ? En installant un sabot moteur. Cette plaque en métal prend les impacts en lieu et place du carter. A voir comment cela altère le refroidissement moteur.

Quant aux carbus, ils ont reçu un traitement particulier. Une équerre en métal a été montée pour solidariser la culasse au corps du carburateur. Pourquoi donc ? Pour moins solliciter la membrane plastique et ainsi retarder voire éviter son déchirement. De plus, un joint thermique a été placé de chaque côté de ce support. Ainsi, la chaleur du moteur ne remonte pas jusqu’aux carburateurs ce qui évite le phénomène de Vapor Lock.

La boite à air d’origine de l’Ural est simple et efficace. Mais disons que son démontage n’est pas des plus faciles. Nous l’avons remplacé par un coupe de filtres à air KN. Ils permettent au moteur de respirer à pleins poumons et se démontent en 2 minutes top chrono. Pratique, non ?

Dernière modif importante : l’échappement.

Nous avons installé une ligne 2v1 rehaussée. Les avantages ? Ils sont multiples. En premier lieu, on gagne énormément en garde au sol. On ne risque donc plus de laisser un pot lors d’une section off-road un peu bourrinne 🙂 Deuxièmement, le silencieux est éloigné de la personne dans le panier, ce qui est très appréciable lors de longues balades. Concernant le silencieux, il est à l’origine prévu pour une BMW F800gs. Notre Ural rutile comme une vieille allemande, c’est magique !

Nouvelle ligne d'échappement - Side-car Ural Ranger 2011
©Uralistan
Vous êtes prêts pour une nouvelle astuce d’uraliste averti ? Le reniflard de pont arrière.

Quésaco ? Notre Ural possède un pont AR avec un système de crabotage pour rendre la roue du panier motrice. Ce pont a donc une entrée et deux sorties, chacune avec un joint spi étanche. Avec les variations de température, l’huile change de volume, ce qui sollicite les joints. Le reniflard permet au pont de « respirer » et ainsi relâche la pression sur les joints.

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On finit cette présentation super détaillée par quelques améliorations anecdotiques.

Une table de pique-nique sur l’Ural ?

Oui ! C’est sans doute la modification que l’on aime le plus. Une plaque de plexi, un peu de découpe et le tour est joué. Il suffit de déplier le porte-bagage et voilà un espace plat pour une pause. Trop petit pour un repas de famille mais idéal pour un café ou une bière !

Et…

Nous avons monté des jerrycans à essence de 10 L. Avec les 16 L du réservoir, cela porte l’autonomie totale à près de 400 bornes.

Pour espérer y voir quelque chose dans le noir, une barre de LED a été ajoutée. Avec ses 54 watts, on voit de nuit comme en plein jour 🙂

Enfin, il ne faut pas oublier qu’un Ural peut être capricieux. Pour parer aux éventualités, on a donc jugé bon de transporter une corde avec nous. Mieux vaut prévenir que guérir 🙂

On vous a parlé de nos bagages ?

Pour affronter toutes les météos, tous les terrains, avec une utilisation quotidienne, il faut du costaud. C’est pourquoi nous nous sommes adressé à  SW-Motech. Leur sacoches sont étanches, robustes et se sanglent super facilement et notamment entre elles. Les essayer, c’est les adopter.

Voilà ! Maintenant, vous connaissez Gobi sous toutes ses coutures. Toutes les modifs que l’on a apporté ne sont évidemment pas obligatoires pour partir à l’aventure avec un Ural ! Car de base, il est robuste et docile. Mais qui veut aller loin ménage sa monture. C’est pourquoi nous avons porté autant d’attention à la préparation de notre 3-pattes soviétique 🙂 Il ne nous reste plus qu’à partir ! Allez, bonne route à tous.!
>> Lire l’article sur comment calculer son budget pour un road trip.

15 commentaires sur “Comment a t-on modifié notre side-car pour partir en voyage”

  1. Belle préparation. Bravo. Et merci d’avoir citer les noms de ceux qui ont participer à cette préparation. Je te souhaite un bon voyage. Donne nous des nouvelles de vous et y compris de « Pti Gobi ».
    Pascal

    1. Salut Pascal,
      Merci pour ton message.
      Ça nous fait plaisir que le premier propriétaire de Gobi approuve ce qu’on lui fait 🙂
      Parce qu’on a quand même un peu la pression vu le soin que tu lui as apporté !
      En tout cas, on espère bien pouvoir te faire voyager avec nos photos.
      Bonne route à toi !

  2. Salut,
    Christian,membre URAL FRANCE,Gobi de 2011,pote de Michel ex propriétaire de ton Gobi.
    J’interviens à titre de défenseur d’un camarade,mis au pilori,sur le forum d’EM par Pascal,sans connaître sa personnalité.
    Michel,jouxte les 70 ans,ingénieur,retraité.C’est un personnage calme,réfléchi et surtout honnête.
    Je le fréquente depuis 30 ans pratiquant la voile et la moto.Il possède une BMW 1200 de 2005,dont il maintien et assure sa mécanique.Son état est exceptionnel de part l’attention qu’il lui porte.
    Je suis à l’origine de l’achat de GOBI en ayant contacté EM sur une éventuelle occasion.
    En fait nous devions en acheter chacun un neuf,il y a 3ans,j’ai dû me désister,une moitié de la somme
    utilisée à d’autres fins.
    Ainsi,Michel,décidé,nous partîmes acheter ce Gobi passé par les mains du Chaman DAN.
    Je l’ai donc essayé.Un avion…moi qui était à l’époque en 750…
    et,amortissement parfait.Insignifiant,mais du boulot par la suite,la projection du produit anticorrosif séché sur tout le side,nécessaire pour les hivernales.Transaction conclue.Merci Valérie.
    De retour,toutes les vidanges,remplacement des écrous rouillés,traitement du bas du garde boue panier et peinture ainsi que le jeu aux soupapes.
    Son apprentissage à la conduite…nous avons immédiatement pris la route pour nous rendre dans l’Ubaye,dans un camping au pied du col de Vars,son chien dans le panier et la remorque attelée…
    pour une première,0 kilomètre.Bravo.
    Utilisation des sides:deux fois col de Vars,une fois col de la Bonnette,des allers retour Barcelonette,
    le reste du temps randonnées pédestres car nous y sommes assidus.
    L’autre utilisation,il rejoint sa maison secondaire dans le haut var et quelques escapades sur la corniche d’or jusqu’à THEOULE.
    Ainsi je peux te jurer sur l’honneur que la machine a toujours été respectée.
    J’ai 75 ans et il est hors de question de massacrer notre patrimoine de loisir.
    Michel s’est séparé de Gobi,car jeune il effectuait le trajet LE MUY-MONACO journellement dans les deux
    sens en Honda 350,puis un jour gamelle 1 an d’hôpital sans parler de ses épaules…
    Les douleurs ont laminé ses espoirs de conduite d’un engin particulier.
    La séparation a été douloureuse.
    Pour moi aussi,car je me retrouve orphelin du jumeau de mon Gobi.
    Michel est un honnête homme,jamais il n’aurait voulu cacher une maltraitance,les ennuis qui te sont arrivés sont imprévibles et surtout non calculés pour se séparer de la machine à la veille de sa vente.
    Il en aurait pu être la victime lui -même à quelques jours près.Lorsque il m’a annoncé ton incident,il en était très affecté.
    Ainsi,Pascal a fait son procès,jugé coupable.
    En ce qui me concerne,mon Gobi,5400 kms à l’achat,magnifique,pas de rouille,super état.
    Lors de son inspection,rien à reprocher,sauf que, aprés livraison,un ami me visitant,s’est aperçu que l’arbre de transmission côté panier était fendu sur 10 cm,une carte bancaire pouvait s’y loger…
    Remplacement,puis réfection par Dan de l’entraineur de roulement.Egalement par ses soins,amélioration en 850 et montage pots saucisson.Valérie et Dan,rencontre inoubliable!Je ne savais pas qu’il pouvait encore exister à notre époque des gens si simples.
    A toi à présent,un grand merci pour ton site si captivant,par ton écriture on voyage sans les images…
    Je te souhaite que ton projet aboutisse le plus tôt possible afin que par tes reportages nous puissions rêver de ce que l’on a pas pu ou voulu accomplir soi-même.Mon regret c’est d’avoir connu trop tard les Uralistes et mon Gobi tant aimé.Je ne suis pas encore sur le forum d’URAL FRANCE,je vais m’y présenter sous ESTEREL 83.A très vite pour tes périples commentés.
    Très très cordialement

  3. Bien le bon jour à vous, et merci pour cette mine de renseignements sur votre site, j’apprécie votre altruisme, belles images de voyageurs.
    Concernant les modifs que vous avez fait, j’aimerais avoir une idée du prix pour passer en 850 cm3.
    Encore merci, et bonne route
    Emmanuel

    1. Bonjour Emmanuel,
      Et merci beaucoup pour ton message qui fait chaud au cœur.
      Pour ce qui est du passage en 850cc, je t’invite à contacter Dan, le chirurgien de Est Motorcycles.
      C’est, à ma connaissance, le seul en France qui sait le faire.
      C’est d’ailleurs lui qui a réalisé l’opération sur notre Gobi 😉
      Voici pour le contacter : http://www.est-motorcycles.fr/contact.php

      Bonne route à toi !
      Amitiés uralistes

      1. Merci, mais après un peu de réflexion, j’ai déjà contacté Est-Motorcycles, normal.
        Mon ural est un sportsman de 2005, et mon projet c’est à l’est de l’Europe de l’est, si la pandémie et les politiques le permettent …
        Bonne route, peut-être au plaisir

        1. Salut Emmanuel,
          Tiens nous au courant concernant ton voyage.
          Notre périple de 40 000 bornes prévoit une bonne partie en Europe de l’Est.
          Donc, qui sait ? Peut-être pourra t’on se croiser sur la route 🙂

          Très bonne continuation à toi !
          Amitiés uralistes

          1. Concernant la barre de led sur le side, je ne la trouve pas très protègée, tu as surement une explication
            Et elle n’est utilisable qu’en plein phare, j’imagine le trou noir quand on passe en code …
            Emmanuel

            1. Emmanuel,
              La barre de LED est très costaud de base. De plus, là où elle est placée, elle ne craint rien.
              Elle a déjà pris des branchages et de la boue sans broncher.

              Oui, elle est connectée sur le contacteur de plein phare via un relais.
              Et effectivement, passer du code aux pleins phares, c’est un peu le jour et la nuit !!
              A bientôt

    2. Bonjour à tous les deux,
      Je m’occupe en ce moment de faire les renforts des carbu, j’aimerai savoir ce que vous avez utilisé comme joints thermiques, ce que je trouve ne me convient pas (matériel informatique, et électronique), avec l’essence …
      Bonne continuation, portez vous bien

    3. Bonjour Jérémy,
      Encore un grand merci, je suis impressionné par ta réactivité, et ton efficacité.
      Je vous souhaite plein de bon temps à tous les deux.
      Très cordialement, Emmanuel

    4. salut Jérémy,
      comment procèdes-tu pour régler les freins à tambour, les miens ne sont que de piètres ralentisseurs…
      Je suis tes périples sur l’hexagone. D’agréables feuilletons.
      Dommage que l’on soit aux antipodes, j’aurais bien aimé faire quelques escapades avec vous et, avec la soeur de pt’i GOBI.
      Amicalement. Christian

      1. Salut Christian,
        Et merci pour ton message.
        Est-on aux antipodes de la France ou du monde ?
        Selon ta réponse, une rencontre sera plus ou moins difficilement envisageable effectivement.

        Avant de rentrer dans le vif du sujet, il convient de signaler qu’un Ural se conduit comme un semi-remorque.
        Anticipation des freinages, gentiment avec l’accélérateur, etc…
        Ces bases de ce qu’on appelle maintenant l’éco-conduite ont deux effets :
        -Diminuer ta conso d’essence, pour ma part, passer de 10l/100 à 9l/100.
        -Moins solliciter les freins à tambour qui sont effectivement plus des éléments de décoration que de vrais dispositifs de sécurité

        Maintenant pour régler ses freins à tambour, voilà ma technique (que j’ai volé à un illustre uraliste averti).
        1- Tu mets la roue que tu veux régler sur cric pour qu’elle tourne librement.
        Ensuite, tu ajustes ta tige de frein pour que les mâchoires soient proches des tambours.
        Donc en gros, tu fais tourner la roue, tu serre, et quand ça commence à frotter tout le temps, tu reviens en arrière.
        L’idée c’est de diminuer la course de ta pédale de frein avant que ça commence réellement à freiner.
        Et surtout éviter que ça freine tout le temps 🙂
        2- Maintenant, il faut trouver l’équilibre roue AR / roue panier.
        Pour ma part, j’aime que lors d’un freinage gentil, la roue du panier freine avant la roue AR.
        Ça permet de limiter l’aspect poids mort du side.
        D’autres, préfèrent freiner davantage de la roue AR.
        Certains extrémistes vont mêmes jusqu’à supprimer leur frein panier.

        Bref, chacun ses préférences mais la méthode de réglage reste la même.
        Tu trouves une longue allée bien gravillonneuse.
        Tu roule, puis tu freine assez puissamment pour laisser des traces dans les graviers, mais assez progressivement pour voir quel frein se déclenche avant l’autre.
        Tel un juge en championnat de saut en longueur, tu notes les traces et ajuste tes réglages en fonction.
        Voilà, c’est très empirique, mais ça fonctionne.

        En complément, si tu as du temps et que tu es perfectionniste.
        Il convient aussi de t’assurer – pour un freinage optimal – que toute la surface de ta mâchoire soit en contact avec le tambour.
        Car, si seulement 10% de ta mâchoire frotte, globalement, t’auras que 10% de ton freinage.
        Pour cela, la méthode de la craie !
        Tu colories allègrement toute la surface de tes mâchoires à la craie.
        Tu remonte, tu fais quelques freinages, tu démontes, et tu regarde où la craie à disparu.
        Il est possible qu’une partie soit plus usée que le reste, au quel cas, tu le verras rapidement avec cette méthode.

        Et voilà !
        Très bonne journée à toi !
        Et n’hésites pas à partager tes escapades uralistiques sur le site de l’asso Ural France (https://ural-france.com/)

        1. Bonsoir Jérémy et Madame,
          je te remercie pour tes combines de réglage, j’avais testé auparavant le gravier et la gestion de l’effleurement par la tige de réglage.
          En fait, comme je te l’indiquais dans mon précédent post, du 17 Novembre, le Gobi avait été maltraité en TT, arbre de transmission fendu, et dents arrondies de l’entraineur de roue, puis réfection totale par Dan.
          De même suite, j’ai remplacé les mâchoires côté moto, tes conseils me seront précieux avec la combine de la craie pour affiner le réglage intérieur du tambour.
          Antipode minime…Je demeure en Provence, à FREJUS dans le Var.
          Je vous souhaite de belles fêtes de fin d’année.
          Amicalement. Christian

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